Cinq ans déjà, que je n’utilise plus de cotons démaquillants jetables (oui, on peut être écolo-convaincue et souhaiter revendiquer sa féminité d’un coup de rimel ou de rouge à lèvres, biologiques!), car non seulement la culture du coton est celle qui utilise le plus de pesticides au monde mais son blanchiment requiert d’employer chlore et autres azurants chimiques !
Mois : mars 2016
LE MIEL, ON EN CONNAIT UN RAYON !
J’avais déjà vu d’épais rayons de miel au marché, mais j’ignorais complètement leurs qualités gustatives et bienfaits jusqu’à ce que je succombe à ma curiosité en passant devant l’étale d’une apicultrice du coin chez qui je me fournis en bougies.
UN FROMAGE QUI NOUS REND CHÈVRE…
Marché, La ruche qui dit oui, Mon panier de campagne, épicerie locavore (Le parfum des pommes ou L’Essentiel dans notre quartier)… tout est bon pour privilégier les circuits courts et les produits frais des producteurs du coin à la saveur inégalable, sans ajouts douteux et nettement moins consommateurs de CO2 ! Évidemment ces arguments nous ont, depuis longtemps (6 ans tout de même!), convaincu du bienfondé du mouvement né à San Francisco, mais c’était sans compter sur les jolis moments d’échange et de partage avec les agriculteurs voisins et leurs animaux.
ROBINSON DES BACS À SABLE !
Une bien jolie découverte que le Cahier Montessori édité par Nathan. Élaboré par Eve Hermann et illustré Roberta Rocchi. Deux cents pages qui invitent l’enfant, guidé par l’un de ses parents à enrichir son vocabulaire, découvrir la nature et le monde à travers une multitude d’activités dans différents domaines parmi lesquels la botanique, la zoologie, la géographie, les sciences…